Nombreuxsont les "américains accidentels" qui manquent involontairement à leur obligations fiscales envers le Services des impôts américain. La « streamlined procedure » permet aux contribuables américains dont l’omission de divulguer leurs actifs ou revenus détenus à l’étranger était non intentionnelle de régulariser leur situation, et d’éviter de potentielles
Qui sommes-nous ? Notre organisation Nos objectifs Comment adhérer ? Nos actions Décision du conseil d'État Lawsuit against State Department Ajoutez un logo, un bouton, des réseaux sociaux Cliquez pour éditer Association des Américains Accidentels L'AAA ▴▾ Qui sommes-nous ? Notre organisation Nos objectifs Comment adhérer ? Nos actions Décision du conseil d'État Lawsuit against State Department Comprendre ▴▾ Binationaux et extraterritorialité Qu'est-ce qu'un américain accidentel ? L'extraterritorialité en matière fiscale L'extraterritorialité en matière économique L'extraterritorialité en matière financière Les préjudices Témoignages Nous contacter ▴▾ Ils parlent de nous ▴▾ Communiqué de presse Dans la presse A la radio A la télévision Qui sommes-nous ? Notre organisation Nos objectifs Comment adhérer ? Nos actions Décision du conseil d'État Lawsuit against State Department Binationaux et extraterritorialité Qu'est-ce qu'un américain accidentel ? L'extraterritorialité en matière fiscale L'extraterritorialité en matière économique L'extraterritorialité en matière financière Les préjudices Témoignages Communiqué de presse Dans la presse A la radio A la télévision Donnez-nous les moyens de continuer nos actions juridiques en cliquant ci-dessous Suivant l’avis de son rapporteur public, l’Assemblée du contentieux a rejeté nos requêtes aux termes d’une motivation éminemment contestable. Vous trouverez ci-dessous les détails de cette décision.
Bulletinmétéo du mardi 19 juillet 2022 à 20h35; Les JT du 19 juillet 2022; Archives des 19 juillet des autres années. lun. 19 juillet 2021; dim. 19 juillet 2020; ven. 19 juillet 2019; jeu. 19
La marée corrosive de chlorure ferrique qui s’est répandue dans les anses et sur le littoral de Martigues provient d’une usine historique qui fait l’objet théorique d’un plan anti-vieillissement. Le chlorure ferrique est miscible dans l’eau douce et l’eau de mer et il n’est pas possible de le récupérer comme cela se fait pour les hydrocarbures. Ce dérivé du chlore est utilisé comme désinfectant dans les stations d’épuration des eaux usées. Kem One Martigues-Lavéra produit du chlore, du chlorure ferrique, de la soude et de l’eau de javel. Le site a dû être en production accélérée et engranger des profits importants au plus fort de la crise Covid-19. Le littoral sinistré est inclus dans la Zone Naturelle d´Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique Znieff Marine Type I de Ponteau à La Pointe de Carro. Les herbiers de posidonies, les oursins violets, les dattes de mer, les coraux et les éponges risquent d’être brûlés par le chlorure ferrique concentré. L’impact sur l’écosystème devra être suivi sur le long terme. Après les rejets accidentels de ce produit chimique dans les rivières, il a été constaté des mortalités de poissons et de batraciens. Kem One Martigues-Lavéra, ex Arkema/Total, est un site Seveso seuil haut. Il a fait l’objet de 4 arrêtés de mise en demeure depuis 2016. Le dernier en date du 26 décembre 2019 met en demeure l’exploitant de renforcer la sécurité de ses stockages de chlore au plus tard le 31 mars 2020. L’arrêté de mise en demeure du 2 juillet 2019 reproche à l’exploitant de ne pas avoir mis à jour son étude de dangers dans les délais requis et lui impose cette actualisation dans un délai de 2 mois. L’arrêté de mise en demeure du 13 juillet 2018 reproche à Kem One le non respect des valeurs limites en polluants de ses rejets liquides. La dernière visite d’inspection de la DREAL sur le site de Kem One Martigues-Lavéra a eu lieu le 18 juin 2020. Le groupe Kem One est dirigé par un fonds d’investissement américain qui a racheté à Arkema le pôle d’activités chlorochimiques en 2012 pour 1€ symbolique. La répétition des arrêtés préfectoraux de mise en demeure à l’encontre de Kem One Martigues-Lavéra montre que l’exploitant ne considère pas la protection des travailleurs, des populations et de l’environnement comme une priorité. Cet accident 9 mois après Lubrizol à Rouen remet au goût du jour la cohabitation difficile entre les usines Seveso et les autres activités humaines. Robin des Bois a été informé d’une mauvaise gestion des lagunes de déchets liquides sur le site voisin de Kem One Fos-sur-Mer. 57 sites Seveso sont implantés dans le département des Bouches-du-Rhône dont 13 sur la commune de Martigues. Les ressources humaines de la DREAL Bouches-du-Rhône sont insuffisantes pour imposer une maîtrise des risques industriels. Plusieurs familles en partance pour leurs vacances à Martigues nous ont contacté ce matin et protestent contre le peu d’informations pratiques disponibles à la mairie et au syndicat d’initiative. Voir à ce sujet l’arrêté de la préfecture maritime de Toulon pdf en lien. De l’avis de Robin des Bois, il serait prudent d’interdire la baignade et la plongée sous-marine au delà du 24 juillet 2020 à minuit. L’association va porter plainte. Photo DR via France 3 Imprimer cet article
Troppeu d'arnica sur les chaumes du massif des Vosges. Dès 4 h du matin, plusieurs dizaines de cueilleurs ont arpenté les pentes du Markstein en quête d’une fleur au 01 juillet 2019 à 19:30.
L’ivermectine est un des médicaments qui ont été étudiés dès le début de la pandémie pour combattre la COVID-19. Sauf qu’actuellement, c’est la formule destinée aux animaux qui connaît une popularité sans précédent aux États-Unis — avec une multiplication des appels aux centres antipoison. Le Détecteur de rumeurs tente d’expliquer pourquoi. L’origine de la rumeur L’ivermectine est un médicament utilisé pour traiter les parasites tels que la gale et la cécité des rivières onchocercose chez l’homme, de même que les parasites intestinaux chez les animaux. Il aurait en outre, comme l’hydroxychloroquine, un certain effet antiviral et anti-inflammatoire. Il était donc logique quau début de la pandémie, il ait fait partie des médicaments testés pour voir s’ils pouvaient aider à lutter contre le nouveau virus. Malgré des études précliniques encourageantes, les essais menés sur les humains n’ont pas été concluants. La montée en popularité Mais l’ivermectine a, entretemps, fait l’objet d’une intense promotion sur les réseaux sociaux. Par exemple, avec des pages Facebook portant des noms tels que Ivermectin is a proven treatment for Covid ou Ivermectin Vs Covid, créée dès janvier dernier. Un groupe de médecins regroupés sous le nom de Frontline COVID-19 Critical Care Alliance, a milité pour l’ivermectine. Des médias comme Fox News ou The Epoch Times ont mis l’accent sur des études préliminaires faisant état de résultat encourageants, bien que ces espoirs ne se soient pas matérialisés lors d’études subséquentes. Les prescriptions d’ivermectine ont augmenté considérablement aux États-Unis en 2021, mais tout particulièrement cet été, passant à plus de 88 000 par semaine à la mi-août, contre une moyenne de 3600 par semaine avant la pandémie, selon les données des Centres de contrôle des maladies. Si leur médecin refuse de leur en prescire, beaucoup de gens se tournent vers l’ivermectine destinée aux animaux, à travers les magasins d’aliments pour bétail, médicaments qui ne nécessitent pas de prescription aux États-Unis. Plusieurs commerçants de diverses régions de ce pays ont vu leurs tablettes se vider ces dernières semaines. Le phénomène semble aussi atteindre l’Ouest canadien Radio-Canada rapportait le 30 août que plusieurs magasins de l’Alberta faisaient face à un accroissement de la demande, pour un produit qui est généralement vendu à l’automne et au printemps. Au point où certains ont retiré le produit de leurs tablettes. Des risques pour la santé Or, la formulation animale peut être toxique pour les humains, prévient aux États-Unis la Food and Drug Administration FDA. L’organisme en charge d’approuver les médicaments a même choisi de miser sur l’humour pour essayer de dissuader les Américains. Vous n’êtes pas un cheval. Vous n’êtes pas une vache. Sérieusement, arrêtez », lit-on dans un tweet publié le 21 août. Dans un article publié sur son site dès mars dernier, la FDA soulignait qu’il était normal que certains soient tentés de prendre des médicaments non conventionnels, non approuvés ou non autorisés. Mais les formules conçues pour les grands animaux sont particulièrement dangereuses pour les humains en raison de leur concentration élevée, prévue pour des animaux pas mal plus massifs qu’un humain. En avril, la FDA alertait officiellement quant au risque posé par des patients qui choisissaient de s’auto-médicamenter, sans prescription de leur médecin. Or, cet été, des rapports de plusieurs régions des États-Unis ont fait état de personnes qui ont eu besoin d’un soutien médical et ont été hospitalisées. Le Département de la santé du Mississippi rapportait le 20 août qu’au moins 70 % des récents appels dans les centres antipoisons de l’État étaient liés à l’ingestion d’ivermectine pour les animaux. À l’échelle des États-Unis, les appels aux centres antipoison ont été multipliés par trois en janvier et par cinq en juillet, par rapport aux chiffres prépandémie, selon l’Association américaine des centres antipoison. Le Québec ne semble pas encore touché, alors que le Centre antipoison du Québec n’avait enregistré, au début de septembre, que deux expositions accidentelles à l’ivermectine au cours de la dernière année. Ingérer trop d’ivermectine peut provoquer des démangeaisons et de l’urticaire, mais aussi des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, de la diarrhée, une hypotension artérielle, des étourdissements, des problèmes d’équilibre, des convulsions et même la mort. Le médicament peut également augmenter les effets d’autres composés qui dépriment le système nerveux central, notamment les benzodiazépines et les barbituriques. L’ivermectine contre la COVID-19 Tout cela se produit en dépit du fait que les études ont révélé dès 2020 que l’efficacité du médicament contre le coronavirus était mince et que la plupart des études comportaient des informations incomplètes ou des limites méthodologiques importantes. Par exemple, de petits échantillons et des mesures de résultats peu claires, déclaraient en février les Instituts nationaux de santé, aux États-Unis. Même le fabricant du médicament, le géant pharmaceutique Merck, indiquait en février 2021 qu’il n’existait aucune donnée probante de l’efficacité clinique de l’ivermectine chez des patients atteints de la COVID-19. Mais d’autres recherches sont toujours en cours. Enfin, il faut savoir que l’ivermectine est approuvée par la Food and Drug Administration et par Santé Canada pour traiter certains types de parasites et de maladies tropicales, mais pas pour traiter les virus. Santé Canada a même émis le 31 août un nouvel avis déconseillant son utilisation contre la COVID-19. Verdict À en juger par les ventes dans les commerces et par les appels aux centres antipoisons locaux, il existe bel et bien un nombre croissant d’Américains — et peut-être de Canadiens — qui ingèrent ou s’injectent de l’ivermectine destinée au bétail et aux chevaux, dans l’espoir de combattre la COVID-19. Un médicament destiné au bétail est toujours à déconseiller pour les humains. Ne ratez aucun de nos contenus Encouragez
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  • ce 19 juillet 2019 association des américains accidentels